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Dans The Business of Drugs Episode 3, l’analyste ร la retraite de la CIA Amaryllis Fox continue de profiler l’รฉchange de drogues illรฉgales, cette fois en se concentrant sur l’hรฉroรฏne. Il s’avรจre que le narcotique n’a gagnรฉ en popularitรฉ qu’aprรจs de longues annรฉes de conflit sur la drogue.
Selon la suite, l’opium a augmentรฉ de 65% en 2017 indรฉpendamment. Fox se rend en Afrique de l’Est, oรน l’รฉchange d’hรฉroรฏne a eu lieu.
Elle affronte un homme ร Kibera, au Kenya, qui se fait appeler ยซM. K. ยป Il contracte dans une catรฉgorie d’hรฉroรฏne appelรฉe ยซsucre brunยป.
Le commerce de la drogue passe en revue les principes de base, tels que l’hรฉroรฏne existant en tant que variรฉtรฉ plus puissante de la morphine, et la faรงon dont la morphine est normalement utilisรฉe dans les mรฉdicaments.
Comme pour les รฉpisodes supplรฉmentaires de la suite, nous comprenons qu’une tribu comme M. K. peut faire beaucoup plus de vente de devises qu’un travail normal de 9 ร 5. Il rassemble de nombreux clients, des Nigรฉrians aux Chinois.
En termes de mode, l’hรฉroรฏne est la troisiรจme aprรจs le cannabis et la cocaรฏne. Cependant, certaines personnes, comme le dรฉputรฉ kรฉnyan Mohamed Ali, tentent de rรฉsister ร cette crise de drogue destructrice.
Il envisage l’hรฉroรฏne รฉtrangรจre au Kenya. Nรฉanmoins, comme les autres chances de gagner de l’argent tardent, les gens en dรฉpendent pour de l’argent. En fait, en Afghanistan (oรน l’hรฉroรฏne est largement approvisionnรฉe), les rรฉsumรฉs de drogues reprรฉsentent prรจs de 30% du PIB.
L’usage d’hรฉroรฏne a grimpรฉ en Afrique en raison de l’adaptabilitรฉ des routes d’รฉchange, car la Syrie dรฉchirรฉe par la guerre n’est plus aussi durable. Ce n’est pas pour annoncer qu’aucun lieu est indรฉpendant du danger.
ร Mombasa, au Kenya, nous รฉcoutons ยซM. R ยป, qui est devenu un informateur de la police aprรจs la disparition de certains de ses copains d’exploitation de hors-bord.
Une direction mortelle
Bien que The Business of Drugs jette un ลil aux jeux de style DEA, il jette รฉgalement un coup d’ลil sur des stratรฉgies moins militaristes face ร l’hรฉroรฏne.
Kheri Bilali, un activiste de la clinique MEWA, le communiquรฉ รฉvoque leur commerce de seringues ร aiguilles, pour garantir l’utilisation d’aiguilles stรฉriles.
Nous voyons en outre qu’une femme nommรฉe Sheba, une vieille toxicomane elle-mรชme, s’occupe de la clinique, dans l’espoir d’utiliser ses connaissances pour motiver les autres ร se rรฉhabiliter.
La suite explique รฉgalement comment les effets radieux mรจnent au retrait et comment l’hรฉroรฏne profite du soi-disant ยซDark Webยป et du systรจme Hawala de transfert de richesse.
Fox indique que les gens comme les rรฉgions minimisent leur crise d’hรฉroรฏne. L’incident offre comme exemple Bashir Ali de la police de Mombasa, qui affirme que la consommation d’hรฉroรฏne a รฉtรฉ rรฉduite de 95% (une image incertaine).
Si l’on peut s’opposer fermement ร la stratรฉgie brutale de la guerre contre la drogue, perdre un membre peut nรฉanmoins altรฉrer le psychisme d’un transporteur de drogue.
C’est prรฉcisรฉment ce qui s’est passรฉ avec Salim, un ancien mulet de drogue qui avait l’habitude de porter de l’hรฉroรฏne dans son estomac.
Salim a perdu sa jambe lors dโune confrontation avec la police, ce qui lโa amenรฉ ร modifier la procรฉdure de sa vie. Cependant, comme le suggรจre Amaryllis Fox, pratiquement n’importe qui pourrait finir par fabriquer, vendre ou expรฉdier des mรฉdicaments pour endurer.
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