De quoi s’agit-il ?
Sur une durée totale de seulement quatre heures, cette série tisse l’histoire de deux personnages pendant la Deuxième Guerre mondiale : Marie-Laure Leblanc, une jeune française aveugle réfugiée chez son oncle, et Werner Pfennig, un prodige allemand des ondes radio. À travers un secret partagé, ils redécouvrent la foi en l’humanité et perçoivent un espoir.
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Le casting
Vous avez peut-être déjà croisé Louis Hoffman, l’étoile de “Dark”, qui figure parmi les rôles principaux. À ses côtés, pour le rôle de la délicate Marie-Laure, Netflix a misé sur une nouvelle venue à l’écran, Aria Mia Loberti, une actrice dont le talent mérite attention. Mark Ruffalo et Hugh Laurie complètent cette distribution de renom.
Vaut-elle le détour ?
La série événement de Netflix, “Toute la lumière que nous ne pouvons voir”, avait suscité une grande attente. Les premières images, dévoilées lors de l’événement TUDUM de Netflix et d’une poésie saisissante, ne faisaient qu’accroître cette anticipation.
Shawn Levy, le réalisateur connu pour “Free Guy” et “Deadpool 3”, ainsi que producteur de “Stranger Things”, nous plonge dans le tumulte de la Seconde Guerre mondiale avec une narration centrée sur des individus confrontés à des défis extraordinaires.
Le drame, aussi lyrique que poignant, est sublimé par l’interprétation d’Aria Mia Loberti, une révélation à l’écran dans son tout premier rôle. Tout le casting brille, depuis la performance de Louis Hofmann jusqu’à Lars Eidinger, sans oublier les incontournables Mark Ruffalo et Hugh Laurie.
La musique et le son
La série brille aussi grâce à son design sonore méticuleux, soulignant la richesse de l’expérience télévisuelle, bien au-delà de la simple histoire d’une héroïne sourde. La musique, notamment un thème pianistique mélancolique, vient tempérer l’intensité du drame.
Une approche fidèle au roman
Bien que certains puissent critiquer la série pour son “américanisation” avec des personnages parlant un anglais impeccable, ce choix est justifié par la volonté de rester fidèle au roman écrit en anglais.
En fin de compte, “Toute la lumière que nous ne pouvons voir” demeure une série profondément humaine, qui rend hommage à la force et à la résilience de ses personnages, notamment de sa protagoniste captivante.
